Dans Chimères déambulent des monstres issus d’une obscure mythologie et qui pourtant, trouvent leur correspondance dans notre ordinaire contemporain. Les pieds dans le sang, ces obscurs bouffons parviennent pourtant à rire et à chanter. A valser, même en boitant, dans ce qui aurait pu être jadis une salle de bal. Valser, même épuisés, jusqu’au dernier souffle, si celui-ci existe. Place donc à la valse des mutilés.